Indice Jambon-Beurre :  Le Sandwich & Snack Show, rendez-vous du snacking et de la consommation nomade

Indice Jambon-Beurre : Le Sandwich & Snack Show, rendez-vous du snacking et de la consommation nomade

Actualités
Publié le 7 mars 2013

A la veille de sa 14e édition, le Sandwich & Snack Show est devenu le rendez-vous leader sur le marché du snacking et de la consommation nomade. Au fil des années, ce salon a su s’entourer des meilleurs experts afin de livrer un contenu à forte valeur ajoutée et de se positionner en véritable défricheur de tendances sur son marché. Rendez-vous à Paris porte de Versailles les 20 et 21 mars.

 

Le marché français de la restauration poursuit sa mutation : l’évolution des besoins et des motivations des consommateurs bouleversent la demande et l’arrivée de nouveaux acteurs et de nouveaux lieux de consommation dynamisent le secteur. Deux modes de distribution historiques sont désormais clairement identifiés  dans l’esprit des consommateurs :

·         le SAT (restauration avec Service A Table)

·         la VAC (Vente Au Comptoir)

Si la notion de service à table est facilement compréhensible, la notion de VAC comprend toutes les formes de restauration de type fast-food, restauration rapide moyen et haut de gamme, libre-service, cafétérias et self-service, boulangeries-pâtisseries.

Les chiffres clés du marché de la VAC en 2011

En 2012, le chiffre d’affaires du marché de la VAC s’est élevé à  34 milliards d’ €, soit une croissance de 3,97% par rapport à 2011 et plus de 73,5 % de  croissance depuis 2004, année de l’accélération de la montée en gamme et de la diversification.

Les chiffres clés 2012 du marché du sandwich

7,01 milliards d’€, c’est le chiffre d’affaires du marché du sandwich en 2012 soit une croissance de 6,27 % par rapport à 2011.

2,105 milliards de sandwichs ont été consommés en 2012, tous circuits de distribution confondus, soit une croissance de de 3,96 % par rapport à 2011.

3,34 €, c’est le prix moyen d’un sandwich en France en 2012, soit une croissance de 2,14 % par rapport à 2011.

L’indice Jambon-Beurre (inter)

Créé en 2008 avec la participation de Gira Conseil, l’indice Jambon-Beurre est un outil de mesure du marché de la restauration rapide étalonné sur son produit phare, le sandwich jambon-beurre. Cet indice permet notamment de comparer les prix pratiqués par les différents acteurs présents sur ce marché dans les différentes agglomérations du territoire.

Les résultats de 2012 confirment la bonne résistance du jambon-beurre qui représente encore près de 2 sandwichs sur 3 consommés pour 1,31 milliards d’unités. Son prix moyen est de 2,68 €, soit une croissance de 1,51 % par rapport à 2011 (tous pains et circuits confondus). Il est 6,15 % plus chers dans les grandes agglomérations.

Le jambon-beurre le moins cher est à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor) avec un prix moyen de 2,20 € et le plus cher à Paris, avec un prix moyen de 3,26 €.

Répartition en volume du Jambon-beurre 2012

Circuits traditionnels (cafés brasseries), 48 %, en baisse attribuée à un critère de prix élevé.

GMS et commerce de proximité, 27 %, en hausse attribuée à un critère de prix bas.

Métiers de bouche (boulangeries-pâtisseries), 20 %, en hausse attribuée à un critère de bonne qualité.

Restauration automatique, 4 %, en baisse attribuée à un critère de mauvaise qualité.

Pétroliers, 1%, en baisse attribuée à un critère de prix élevé.

Prix du Jambon-beurre par circuit de distribution et évolution entre 2008 et 2012

1, 94 € chez les hyper et supermarchés avec une hausse de 3,1 % sur la période.

2,09 € chez les supérettes avec une baisse de 1,4 % sur la période.

2,95 € chez les sandwicheries avec une hausse de 1,6 % sur la période.

2,98 € chez les boulangeries-pâtisseries, avec une hausse de 10,9 % sur la période.

3,06 € chez les pétroliers, avec une baisse de 4,6 % sur la période.

3,07 € chez les cafés, bars, brasseries, avec une baisse de 2,1 % sur la période.

Depuis 2010, l’indice jambon-beurre est en augmentation de 8,23 % dans les agglomérations de plus de 50 000 habitants ; cette hausse n’est que de 4 % dans les agglomérations de moins de 50 000 habitants.

Le début d’une mutation commerciale

La boulangerie qui a déjà largement entamé sa révolution montre un nouveau visage à l’instar de concepts tels que Joséphine, Julien, LBH, La Petite Marquise ou Saibron – pour ne citer que ceux-là. Ces établissements d’un nouveau type juxtaposent dans le même local à partir de la boulangerie : un bar, une restauration avec service à table, un traiteur, une pâtisserie, de la VAC avec des sandwichs, salades etc. De véritables lieux de vie alimentaire partenaires de l’actif tout au long de la journée.

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